Arye Deri risque une amende de 180 000 shekels (50 000 euros).
Une peine allégée par rapport à ce qu’il risquait au départ grâce à l’accord de plaidoyer qu’il a obtenu auprès des juges. Si ce type de négociation est parfaitement légale, des groupes anti-corruption israéliens estiment que le compromis est trop indulgent.
Arye Deri a dû démissionner de la Knesset mais pourra être réélu à la prochaine. De surcroit, même si c’est déjà sa seconde condamnation pour corruption, il reste à la tête du parti orthodoxe sépharade. Quant à la Haute Cour de Justice, elle a rejeté une requête pour que l’accord de plaidoyer soit annulé, mais peut encore à l’avenir décider d'empêcher Arye Deri de devenir ministre à cause de ses condamnations.
ES
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