C’est du moins ce qu’affirme un journal libanais, information qui n’est confirmée par aucune source officielle ou un autre média.
Selon le Al-Akhbar plus de 15 réseaux d'espionnage israéliens comptant plus de 35 membres ont été arrêtés par les forces de sécurité au Liban en un mois. Le journal précise qu’elles tentent de garder l'opération secrète. Les suspects auraient été arrêté pour fraude et délits liés à la drogue, mais leurs identités n’est pas dévoilée.
Le journal affirme que les agents recrutés surveillaient le Hezbollah, mais aussi le Hamas. Le réseau avait également réussi à pénétrer dans la branche de l'information elle-même et à se rapprocher de sa direction. Ces groupes seraient liée à l’explosion d’un dépôt d’armes du Hezbollah dans le camp de réfugiés de Burj al-Shamali au sud du Liban en décembre.
Israël aurait utilisé une nouvelle méthode d'opération, procédant à la plupart de ses recrutements d'agents par le biais des réseaux sociaux. La crise économique grave que traverse le Liban facilite la tâche. Les nouveaux agents ont été payé par l'intermédiaire de sociétés de transfert d'argent, la source des fonds provenant d'emplacements en Amérique latine, en Europe de l'Est, en Afrique et en Asie.
ES
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