Céline Calvez, députée LREM des Hauts-de-Seine, était ce mardi matin au micro de Christophe Barbier à 7h45 dans l'émission "Le Barbier du matin" sur Radio J.
Le mercredi 16 février marque une nouvelle levée des contraintes sanitaires. Les discothèques rouvrent, la consommation sera autorisée dans les salles de spectacle à partir de demain. Pour autant, le gouvernement n’annonce pas la fin de l’épidémie. Certains estiment que le gouvernement distille les bonnes nouvelles pour permettre au Président de ne pas se présenter. « Il est trop tôt pour dire que l’épidémie est terminée car elle pourrait encore remonter. Ainsi, il est préférable de lever les restrictions progressivement. En aucun cas le gouvernement ne distille les bonnes nouvelles pour favoriser la bonne entrée en campagne du Président de la République », a expliqué Céline Calvez.
La polémique est entière à Paris quant au système Affelnet imposé aux lycées d’élite Henri IV et Louis Le Grand. Une mesure légitime pour favoriser la mixité sociale pour la députée LREM. « À Louis Le Grand et Henri IV il y a seulement 8% d’élèves boursiers, ce n’est pas suffisant. Il est nécessaire de mettre des quotas dans ces établissements d’élites. Il faut emmener les établissements privés dans cette lutte », a-t-elle indiqué.
Enfin, Céline Calvez a réagi aux attaques faites à Valérie Pécresse lors de son premier meeting de campagne présidentielle dimanche dernier jugé chaotique à gauche comme à droite. La candidate de la droite dans la course à l’Élysée s’est défendue lundi sur RTL en précisant qu’elle n’était pas à l’aise avec l’exercice du discours. « Je suis complètement féministe mais ce qui est dérangeant c’est lorsqu’une candidate prétexte être victime de misogynie pour se dédouaner de ses propres défauts », a déclaré la députée LREM des Hauts-de-Seine.
Alexandra Senigou
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