Considéré comme un vétéran de l'islam radical en Belgique, il sera jugé pour association de malfaiteurs terroriste à cause de ses activités en Syrie entre 2014 et 2018.
L'imam franco-syrien encourt dix ans de prison. Pour sa défense, il affirme notamment avoir transmis à l’époque des informations aux services secrets français et belge. Dans les années 1990 et 2000, c’est à Bruxelles qu’il attire l’attention des autorités par son intégrisme à la tête du « Centre islamique belge » à Molenbeek, commune populaire considérée comme un terreau du djihadisme international.
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