Le chef de l'opposition, le député Benyamin Netanyahou, aurait assuré dimanche à ses collègues dirigeants des partis d'opposition qu'il n'envisageait aucune négociation de plaidoyer dans son procès pour corruption en cours.
Un accord sur le plaidoyer inclurait probablement une condamnation pour des infractions qui forceraient l'ancien Premier ministre à quitter ses fonctions publiques pendant au moins quelques années.
Les commentaires divulgués ont été repris par plusieurs médias hébreux, mais aucune citation directe n'a été attribuée à Netanyahou. Le bureau de Netanyahou a affirmé que toute discussion sur une négociation de plaidoyer n'est qu'une « fausse manœuvre politique » et que « la question n'est pas du tout à l'ordre du jour », selon le Israel Hayom.
L'ancien Premier ministre aurait été en négociations intenses avec le bureau du procureur de l'État pour signer un accord qui lui aurait permis d'éviter une peine de prison en échange d'une pause significative dans la politique. Mais les pourparlers ont échoué en janvier dernier.
Gabriel Attal
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