Déborah Abisror-de Lieme, candidate du mouvement présidentiel Renaissance aux Législatives dans la 8ème circonscription des Français de l’étranger, était au micro de Steve Nadjar ce mercredi après-midi à 14h35 sur Radio J pour parler de sa candidature aux élections législatives (12 et 19 juin).
La candidate était lors du dernier quinquennat, aux premières loges aux côtés d’Olivier Véran (ministre de la Santé) face à la pandémie de coronavirus. Militante depuis toujours, elle a commencé par diriger l’Union des Étudiants Juifs d’Europe puis le Bneï Brit d’Europe. « Le militantisme est en moi », confie-t-elle.
Elle a souhaité mettre ses compétences au service de l’État. « Je suis une française de l’étranger, ma famille habite en Israël et je suis moi-même une française de l’étranger », confie-t-elle. « Je connais donc tous les problèmes que l’on rencontre non seulement par ce que je les ai vécus mais aussi par ce que j’ai travaillé au ministère de la santé », dit-elle faisant référence aux problèmes de la double imposition, de CSG et CRDS…
La jeune candidate (36 ans) souhaite se rendre utile en représentant cette circonscription au sein de l’Assemblée nationale. Elle souhaite se distinguer du candidat Meyer Habib qui brigue un troisième mandat consécutif. « Je veux être une députée de la majorité car c’est la majorité qui compte. Un député de la majorité est certes moins visible mais il fait d’avantage », déclare Déborah Abisror-de Lieme. « Je veux faire, je veux utiliser cette carte qui est celle de la majorité et celle de mon passif au sein des gouvernements, ma connaissance des rouages de l’administration pour la circonscription ».
Arielle Wilhelm
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