David Amiel, candidat Renaissance aux élections législatives (12 et 19 juin) dans la 13e circonscription de Paris, était l’invité de Christophe Barbier ce mardi dans l'émission "Le Barbier du matin" à 7h45 sur Radio J.
Concernant les accusations de viol à l’encontre de Damien Abad, le candidat déclare « qu’il faut confier à la justice le soin d’établir les faits », propos très similaires aux discours d’Elisabeth Borne, Première Ministre, et de Olivia Grégoire, porte-parole du gouvernement.
Si certains estiment que la démission du ministre des Solidarités est un principe de précaution, David Amiel en appelle à la présomption d’innocence. « J’entends le message de l’émotion qu’on partage tous, mais il faut faire confiance à la justice pour qualifier les faits », a-t-il affirmé.
A la suite de la sortie de son livre, Le progrès ne tombe pas du ciel, co-écrit avec Ismaël Emelien et qui théorise le macronisme, il explique que « le progressisme macroniste a vocation à sortir des clivages traditionnels pour changer les choses ». Face aux populismes, « il ne faut pas se satisfaire de la stigmatisation de nos oppositions, mais changer le quotidien des Français », a-t-il analysé.
« Ce qui se passe en ce moment est absolument décisif, et les élections législatives sont peut-être plus historiques que jamais », a soutenu David Amiel.
Charlotte Adda
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