Une décision qui signe que les avions israéliens ne peuvent pas encore profiter de l'ouverture de l'espace aérien saoudien décidé par Riyad le mois dernier qui doit permettre de raccourcir les vols vers les pays asiatiques.
L'Arabie saoudite a déjà donné son feu vert pour survoler son territoire et Israël n'avait besoin que de celui d'Oman. Jérusalem estimait qu’il s’agissait d’une simple formalité en raison des relations apaisées, bien qu'officieuses entre Oman et l'État Hébreu.
Dans le Israel Hayom, le Dr Yoel Gozhansky, chercheur à l'Institut d'études sur la sécurité nationale, affirme que l'Iran a considérablement accru sa pression et ses menaces sur les pays du Golfe afin qu'ils ne prennent pas de mesures de normalisation avec Israël.
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