L’ouverture du sommet arabe a été retardée pour accueillir le dirigeant ukrainien le temps de négocier avec les pays arabes réticents ou qui seraient embarrassés par cette présence, notamment en raison de leur lien avec la Russie.
Un signal aussi directement envoyé à Moscou puisqu’il a quelque peu volé la vedette au dirigeant syrien, Bachar al-Assad, allié de Vladimir Poutine, qui fait son grand retour sur la scène diplomatique arabe après 13 ans d’absence.
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