Le leader du Hezbollah libanais, Hassan Nasrallah, a critiqué le plan d'application de la souveraineté d'Israël en Judée-Samarie mardi soir, affirmant que c'est la chose la plus dangereuse de tout le Moyen-Orient. Le chef de l'organisation terroriste s'est moqué des États-Unis, affirmant que le Hezbollah devenait plus fort sous l'administration du président américain, Donald Trump. Hassan Nasrallah a loué les réussites telles que le Venezuela, Cuba, la Syrie et la Corée du Nord comme modèles pour les pays qui résistent à la tentative américaine "d'affamer" les gens.
Hassan Nasrallah a ciblé l'ambassadrice américaine au Liban, Dorothy Shea, dans son discours, lui disant de ne pas passer à la télévision libanaise. Il a appelé le peuple libanais à "se lever et à se défendre contre son comportement". Cela semble être une menace claire contre l'ambassade américaine. Dans les années 80, des groupes soutenus par l'Iran ont bombardé l'ambassade américaine et une caserne des Marines. Hassan Nasrallah a accusée l'ambassadrice américaine "d'inciter les partis libanais". Il a affirmé que les États-Unis étaient intervenus au Liban, cherchant à obtenir certains rendez-vous à la banque centrale.
Gabriel Attal
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