Des mères assassinées, des bébés décapités, des journalistes découvrent des scènes d'horreur dans le kibboutz Kfar Aza

Mardi, Tsahal a emmené des dizaines de journalistes étrangers pour constater par eux-mêmes les morts et les destructions provoquées par les terroristes du Hamas cette semaine. Avec des explosions et des tirs d'artillerie en arrière-plan, les équipages, portant des casques et des gilets pare-balles, ont parcouru le kibboutz détruit de Kfar Aza, où les corps des terroristes palestiniens gisaient encore à l'extérieur des maisons ravagées par les incendies. Les journalistes étaient protégés par au moins une compagnie de soldats de Tsahal, en tenue de combat complète, alors qu'ils continuaient à nettoyer les maisons.

<blockquote class="twitter-tweet"><p lang="en" dir="ltr">&#39;4 days later, they&#39;re still continuing to go through some of these houses in this very southern Israeli community, and remove the Israeli citizens that were killed inside their homes&#39;<br><br> i24NEWS Correspondent <a href="https://twitter.com/Nicole_Zedek?ref_src=twsrc%5Etfw">@Nicole_Zedek</a> reports live from Kibbutz Kfar Aza <a href="https://t.co/IPG9JAoLkh">pic.twitter.com/IPG9JAoLkh</a></p>&mdash; i24NEWS English (@i24NEWS_EN) <a href="https://twitter.com/i24NEWS_EN/status/1711734085758960038?ref_src=twsrc%5Etfw">October 10, 2023</a></blockquote> <script async src="https://platform.twitter.com/widgets.js" charset="utf-8"></script>

Les journalistes ont parlé de l'odeur de mort qui régnait dans l'air. Pourtant, la simplicité pastorale du kibboutz, avec ses pelouses et ses maisons à un étage, était évidente, soulignant encore davantage à quel point les atrocités commises quelques jours auparavant étaient choquantes. « Ce n'est pas une guerre », a déclaré aux journalistes le général Itai Veruv, chef du commandement de la profondeur de Tsahal. « Ce n'est pas un champ de bataille. Vous voyez les bébés, les mères, les pères dans leurs chambres, dans leurs salles de protection, et comment les terroristes les tuent. Ce n'est pas une guerre… c'est un massacre. «C'est quelque chose que je n'ai jamais vu de ma vie. C'est quelque chose que j'imaginais de ma grand-mère et de mon grand-père en Europe et ailleurs », a-t-il déclaré.

Gabriel Attal