"À tous les résidents d'Al Qaraa, Hirbat El Huzaya, Absan et Bni Suhila. Veuillez vous rendre immédiatement dans la région de Rafah. La ville de Khan Yunes est une zone de guerre dangereuse", peut-on lire sur les tracts largués par l'armée israélienne.
L'armée israélienne fournit des informations aux habitants de la bande de Gaza sur leurs déplacements pour assurer leur sécurité lors de la prochaine étape de la guerre et a divisé Gaza en un grand nombre de zones d'évacuation.
"L'organisation terroriste Hamas utilise les habitants de la bande de Gaza comme boucliers humains, plaçant son commandement et ses infrastructures militaires dans les zones résidentielles, les hôpitaux, les mosquées et les écoles", a noté Tsahal. "Le Hamas transforme des sites civils en cibles militaires tout en utilisant les civils et les installations civiles comme bouclier humain."
"Depuis le début de la guerre, Tsahal a déployé divers moyens pour éviter de nuire aux civils dans la bande de Gaza. Cela inclut l'envoi de messages et d'annonces aux habitants de Gaza, les appelant à évacuer les zones spécifiques utilisées par le Hamas pour leurs activités militaires. activités terroristes et leur demande d'évacuer par les routes concernées."
En préparation de la prochaine étape de la guerre, Tsahal a publié la carte des zones d'évacuation dans la bande de Gaza. Celui-ci divise le territoire de la bande de Gaza en zones selon des zones reconnaissables pour permettre aux habitants de Gaza de s'orienter et de comprendre les instructions, et d'évacuer des endroits spécifiques pour leur sécurité si nécessaire.
Une carte interactive montre les numéros des zones au nord et au sud de la bande de Gaza, appelant les habitants à localiser la zone concernée et à agir s'il leur est demandé de l'évacuer.
La carte a été publiée sur une page spéciale du site Internet de Tsahal en arabe et dans une vidéo spéciale publiée par le porte-parole de Tsahal en arabe sur les réseaux sociaux. De plus, la carte a été publiée dans des communiqués distribués par Tsahal à Gaza.
Gabriel Attal
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