Le terminal de Rafah entre l'Égypte et la bande de Gaza est ouvert 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, mais les procédures mises en place par Israël pour autoriser l'entrée de l'aide entravent le processus, a déclaré le président égyptien Abdel Fattah al-Sisi.
« Cela fait partie de la manière dont ils exercent des pressions sur la question de la libération des otages », ajoute-t-il.
Le COGAT, le bureau de liaison du ministère de la Défense avec les Palestiniens, affirme qu'il n'y a pas de limite au montant de l'aide pouvant entrer dans la bande de Gaza, mais qu'elle doit être contrôlée pour des raisons de sécurité.
« Le rôle d'Israël dans l'opération d'aide humanitaire à Gaza en est un : inspecter l'aide pour des raisons de sécurité. Notre processus d'inspection est efficace, et nous augmentons nos capacités pour maximiser les capacités d'inspection », déclare COGAT.
« Il n’y a aucune limite au montant de l’aide qui peut entrer à Gaza », déclare le COGAT.
Gabriel Attal
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