Lundi soir, le Hamas a semblé rejeter un nouveau cadre pour un accord d'otages accepté par Israël, affirmant qu'il n'accepterait aucun accord qui n'inclurait pas la fin de la guerre et le retrait de toutes les troupes israéliennes de Gaza. Le groupe terroriste a publié une déclaration aux côtés d’un groupe terroriste plus petit, le Front populaire de libération de la Palestine, insistant sur le fait qu’Israël doit mettre fin à son « agression » et se retirer de Gaza avant qu’un accord d’échange ne soit conclu. Un haut responsable du Hamas a ajouté que le groupe terroriste souhaitait un « cessez-le-feu complet et global » à Gaza. "Nous parlons avant tout d'un cessez-le-feu complet et global, et non d'une trêve temporaire", a déclaré Taher al-Nunu à l'AFP, affirmant qu'une fois les combats terminés, "le reste des détails pourra être discuté", y compris la libération des otages.
Plus tôt, le Premier ministre qatari avait déclaré qu’il pensait que le Hamas avait « renoncé » à son exigence d’un cessez-le-feu complet comme condition, ce qui a été catégoriquement rejeté par Israël.
Gabriel Attal
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