Les revenus volés par le Hamas grâce à l'aide humanitaire envoyée à Gaza sont estimés à un demi-milliard de dollars, a rapporté mardi soir la chaîne d'information Channel 12.
Le Hamas prend le contrôle de l'aide, la cache dans des entrepôts et la vend ensuite à la population de Gaza, gagnant ainsi beaucoup d'argent.
L’argent gagné par le Hamas est investi dans le recrutement de nouveaux terroristes et dans le paiement des salaires des terroristes existants.
La semaine dernière, Arutz Sheva – Israel National News a annoncé que les familles endeuillées et les parents d’otages avaient fait appel à la Cour suprême pour exiger l’arrêt de l’aide humanitaire à Gaza, suite à une pétition soumise par des organisations de gauche, cherchant à étendre l’aide à Gaza.
La requête indiquait que « les requérants sont des victimes d'un crime, des familles d'otages, qui sont détenus de force par le Hamas, en violation des lois de la guerre, des familles de ceux assassinés lors du massacre du 7 octobre (Simchat Torah), ainsi que des familles de ceux tués dans des actes terroristes du Hamas. Certains des requérants ont survécu au massacre, mais ne peuvent pas retourner chez eux en raison des activités terroristes continues du Hamas, entretenues grâce à l'aide que reçoit l'organisation terroriste. »
« Les requérants affirment que l'aide humanitaire mentionnée dans la pétition sert d'aide directe au terrorisme et ils demandent que soit déclarée interdite l'aide au terrorisme, contraire à la loi et immorale. Ils demandent à se joindre à la pétition en tant que défendeurs afin de garantir que leurs droits en tant que victimes d'un crime seront entendus et qu'ils seront protégés », ont-ils déclaré dans leur appel.
Parmi les requérants figuraient des membres de la famille d'Amit Bunzel, Elkana Liebman, Eitan Mor, Yonatan Samerano et Ran Gvili.
Gabriel Attal
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