Le ministre français des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot a déclaré que « certains dirigeants » pourraient être à l'abri de poursuites de la Cour pénale internationale, faisant référence au Premier ministre Benjamin Netanyahu, recherché par la Cour pour crimes de guerre.
Interrogé sur la possibilité pour la France d'arrêter M. Netanyahou s'il posait le pied sur son territoire, M. Barrot a déclaré à la radio Franceinfo que la France « est très attachée à la justice internationale et appliquera le droit international ».
Mais il ajoute que le statut de la Cour « traite des questions d’immunité de certains dirigeants ».
« C’est en fin de compte aux autorités judiciaires de décider », dit-il.
Gabriel Attal
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.