La Syrie a condamné "dans les termes les plus forts" la visite du secrétaire d'Etat américaine, Mike Pompeo, dans le plateau du Golan jeudi 19 novembre comme "un acte de provocation" avant le départ du président américain, Donald Trump. Damas a lancé qu'il s'agissait "d'une violation grave de notre souveraineté". Selon elle, la visite viole les résolutions internationales. "De telles visites criminelles encouragent (Israël) à poursuivre sa dangereuse approche hostile", ajoute le communiqué de la Syrie.
Gabriel Attal
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