Le professeur de sciences politiques à l'Open University d'Israël, Denis Charbit, était l'invité de Steve Nadjar dans le Grand Journal de Radio J ce mercredi après-midi. Il est revenu sur la passation de pouvoir présidentiel entre Reuven Rivlin et Isaac Herzog, ancien président de l'Agence juive mondiale. "C'était un homme de convictions. Précisément, parce qu'il avait des convictions bien arrêtées cela ne l'empêchait pas de nouer des relations humaines avec tout le monde, il respirait la bonhomie. Vous le voyez dans la rue, je pense que spontanément quelqu'un se serait tourné vers lui pour le féliciter lui mettant une sorte d'accolade parce qu'il appelait cette sympathie, cette spontanéité. S'il y avait bien quelque chose qui le dépassait c'était le fanatisme, l'extrémisme au nom des idées. C'était un homme du grand Israël. Il n'y a pas eu d'autre président en Israël qui a eu d'aussi bonnes relations avec les Arabes et notamment leurs représentants", a déclaré Denis Charbit.
Gabriel Attal
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