L’ancienne présidente était accusée d'entrave au profit de l'Iran dans l'enquête sur cette attaque. Elle a bénéficié d’un non-lieu de la justice argentine jeudi 7 octobre.
Elle était poursuivie pour avoir encouragé l'approbation par le Parlement d'un accord avec Téhéran. La base cet accord prévoyait que de hauts fonctionnaires iraniens soupçonnés d'avoir commandité l'attentat soient entendus hors d'Argentine. Par ce biais, ils échappent ainsi à la justice. L'attaque a fait 85 morts et 300 blessés en 1994.
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