L’ancien Premier ministre et ancien président du Conseil européen s’est exprimé devant 100 000 personnes réunies devant le palais royal de Varsovie.
En cause, une décision du Tribunal constitutionnel qui remet en cause la primauté de la Cours de Justice européenne sur le droit national. Les réformes de l’appareil judiciaire voulues par le gouvernement nationaliste à Varsovie risquent de réduire la séparation des pouvoirs et les libertés démocratiques.
« Les institutions européennes doivent nous soutenir !, s’est exclamée à la tribune Marta Lempart, l’une des figures emblématiques de l’organisation “Grève des femmes” (Ogolnopolski Strajk Kobiet) ayant mené les manifestations en faveur de l’IVG.
Un même message s’est détaché des prises de parole : face aux multiples atteintes à l’Etat de droit dont le parti Droit et justice (PiS) s’est rendu coupable depuis son arrivée au pouvoir en 2015, l’UE peut et doit agir comme une bouée de sauvetage.
ES
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