Celui du Jerusalem Post et le compte Twitter du journal israélien Maariv. On ignore si cette cyberattaque vient directement d’Iran ou de militants pro-iraniens.
Pendant deux heures, y a figuré la photo d’une centrale nucléaire du même modèle que celle de Dimona en train d’exploser, le tout accompagné d’un texte « nous sommes proches de vous là où vous n’êtes pas, pensez-y. » Le tweet avec la photo sur le compte Twitter de Maariv a aussi depuis été supprimé.
Elle montrait aussi un missile balistique tombant de ce qui semblait être une représentation de la main du commandant de la Force Qods du Corps des Gardiens de la Révolution Islamique (CGRI), Qassem Soleimani. C’était dimanche soir, le deuxième anniversaire de son assassinat à Bagdad en 2020.
ES
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